Queen Omega & Prince Malachi le 19 mars au Trabendo
DIKSUD présente Queen Omega & Prince Malachi seront au Trabendo à Paris
le dimanche 19 mars 2006 à 19h30 (ouverture des portes à 18h30)

Big concert , backé par le 21st century Band
Queen Omega, auteur et interprète, s’inscrit dans la lignée des défenseurs du reggae Roots&Culture. Roots ou Dancehall, elle impressionne dans tous les styles et conquit très jeune un large public en Europe, US, Afrique et Caraïbes.
Son premier album "Queen Omega" (Jet Star, 2002) la popularise en Angleterre et en Jamaïque, notamment grâce au titre « warning » feat Luciano et Capleton. Elle réalise une série de concert en Angleterre en première partie de Luciano et Junior Kelly. L'année suivante sort son deuxième album "Pure Love" (Jet Star, 2003), sur lequel on retrouve Hustle Up sur le Christopher Colombus riddim. C'est seulement six mois plus tard que sort son nouvel opus, "Away From Babylon" (Jet Star, 2003) sur lequel elle chevauche quelques riddims célèbres comme le Natty Dread de Bob Marley ou le Abendigo des Abyssinians. Puis sort "Destiny" (Special Delivery, 2004), album au son plus imposant et sur lequel Queen Omega invite le deejay Buju Banton pour le titre Perfect Combination.
Depuis, Queen Omega a tourné en sound system avec Special Delivery et en groupe avec Mafia & Fluxy associés aux français Bost & Bim. Elle a aussi enregistré des 45T pour les labels Stingray, Mad Professor et bien sur Special Delivery.
Prince Malachi avec ses textes forts et ses sons accrocheurs se rapproche du style de Luciano.
Le premier album de Prince Malachi "Jah Light" (RAS Records, 1998) lui a valu la reconnaissance internationale en tant que « New Roots Messenger ». Ses textes forts et ses sons accrocheurs le feront alors comparer à Luciano, pourtant plus orienté dancehall. Produit par Burrell, "Love Jah" (Charm/Jet Star, 1999) , aka Prophet, "Priest and King" (Xterminator, 1999) présente une tendance dancehall plus marquée qui confirme un rapprochement avec le son d’un Luciano ou d’un Everton Blender.
L’album "Watch Over We" (Xterminator, 2000) est également produit par Burrell. "Runaway Slave" (Charm, Stingray Records, 2004), dernier album en date, gagne nettement en force et en spiritualité, comme en témoigne la chanson-titre. Le prince s’offre d’ailleurs sur ce dernier opus des collaborations qui retiennent l’attention avec les voix de Paul “Lymie” Murray, Sylvia Tella et Don Campbell ainsi que les instrumentistes Sly & Robbie, Tony “Ruff Cut” Phillips et Jazzwad.
PAF : 22€ en prévente / 25€ sur place
le Trabendo :
211 av. Jean Jaures, Paris 19ème
M° Porte de Pantin
le dimanche 19 mars 2006 à 19h30 (ouverture des portes à 18h30)
Queen Omega
Prince Malachi
Prince Malachi

Big concert , backé par le 21st century Band
Queen Omega, auteur et interprète, s’inscrit dans la lignée des défenseurs du reggae Roots&Culture. Roots ou Dancehall, elle impressionne dans tous les styles et conquit très jeune un large public en Europe, US, Afrique et Caraïbes.
Son premier album "Queen Omega" (Jet Star, 2002) la popularise en Angleterre et en Jamaïque, notamment grâce au titre « warning » feat Luciano et Capleton. Elle réalise une série de concert en Angleterre en première partie de Luciano et Junior Kelly. L'année suivante sort son deuxième album "Pure Love" (Jet Star, 2003), sur lequel on retrouve Hustle Up sur le Christopher Colombus riddim. C'est seulement six mois plus tard que sort son nouvel opus, "Away From Babylon" (Jet Star, 2003) sur lequel elle chevauche quelques riddims célèbres comme le Natty Dread de Bob Marley ou le Abendigo des Abyssinians. Puis sort "Destiny" (Special Delivery, 2004), album au son plus imposant et sur lequel Queen Omega invite le deejay Buju Banton pour le titre Perfect Combination.
Depuis, Queen Omega a tourné en sound system avec Special Delivery et en groupe avec Mafia & Fluxy associés aux français Bost & Bim. Elle a aussi enregistré des 45T pour les labels Stingray, Mad Professor et bien sur Special Delivery.
Prince Malachi avec ses textes forts et ses sons accrocheurs se rapproche du style de Luciano.
Le premier album de Prince Malachi "Jah Light" (RAS Records, 1998) lui a valu la reconnaissance internationale en tant que « New Roots Messenger ». Ses textes forts et ses sons accrocheurs le feront alors comparer à Luciano, pourtant plus orienté dancehall. Produit par Burrell, "Love Jah" (Charm/Jet Star, 1999) , aka Prophet, "Priest and King" (Xterminator, 1999) présente une tendance dancehall plus marquée qui confirme un rapprochement avec le son d’un Luciano ou d’un Everton Blender.
L’album "Watch Over We" (Xterminator, 2000) est également produit par Burrell. "Runaway Slave" (Charm, Stingray Records, 2004), dernier album en date, gagne nettement en force et en spiritualité, comme en témoigne la chanson-titre. Le prince s’offre d’ailleurs sur ce dernier opus des collaborations qui retiennent l’attention avec les voix de Paul “Lymie” Murray, Sylvia Tella et Don Campbell ainsi que les instrumentistes Sly & Robbie, Tony “Ruff Cut” Phillips et Jazzwad.
PAF : 22€ en prévente / 25€ sur place
le Trabendo :
211 av. Jean Jaures, Paris 19ème
M° Porte de Pantin